Pilotage et photographie amateur
Les particuliers sont chaque année plus nombreux à acheter un drone de haute technologie . Pour rappel, presque tous les drones actuels sont équipés
de caméra, plus ou moins puissantes . Pour les particuliers, cela représente un moyen de divertissement conséquent . Il s'agit du drone dit "de loisir".
Des hélicoptères ou autre avion télécommandés existaient avant même les années 2000, mais c’est bien avec une nouvelle génération de drone que l’usage
est passé du statut expérimental, professionnel et privé à l'usage destiné au grand public.
Le "précurseur" de cet vague d'envouement pour les drones de loisir est certainement l'entreprise française
Parrot, notamment avec l'AR Drone.
Ceci est le modèle 2.0 , réadapté pour améliorer les défauts du 1.0 .
Si les premiers modèles n’ont pas fait grand bruit, principalement à cause d'un prix trop élevé par rapport à ce que la technologie permettait à l’époque, cela a permis à
Parrot de se spécialiser dans le secteur et de devenir, quelques années après, une référence.
Aujourd’hui, le Parrot Bebop 2 est l’un des meilleurs drones
sur le marché .
C'est celui dont le rapport qualité-prix est certainementle plus avantageux pour un débutant voulant s’équiper confortablement pour ses premiers vols.
Ces drones pour particulier servent à des exercices d'apprentissage de pilotage et à réaliser des photos sublimes :
( voir photos et vidéos de drone)
Le pays comptant le plus grand nombre d'utilisateurs de drones de combat est les Etats-Unis, qui en possèdent depuis les années 1990 .
Par exemple, en 1994, les drones "Predator" font leurs premiers vols de test et sont lancés dès l’année suivante dans les Balkans.
Ces appareils qui ont un rayon d’action de 1250 km peuvent être lancés en reconnaissance sans armes ou être équipés avec des missiles Hellfire.
De manière générale, le drone a un triple usage dans les armées contemporaines : la surveillance (à l’intérieur comme à l’extérieur),
la reconnaissance du terrain pour les troupes terrestres, et aériennes et l’élimination.
En France, c’est seulement depuis 2011 que l’autorisation a été donnée de construire des drones armés, qui constitueront la prochaine génération d’appareils :
le 
De plus, les drones pourrait faire leur apparition dans la gendarmerie . La gendarmerie française par exemple souhaiterais les utiliser pour de la reconnaissance et de
la surveillance .
À Paris, la police préfère l’usage du drone que celui de l’hélicoptère, plus coûteux et plus difficile à manier pour de la reconnaissance en milieu urbain.
« Plus simple et plus réactif, le mini-drone peut assurer des missions discrètes de surveillance et d’observation mais sur de courtes distances et durées.
Le problème toujours en suspens pour ce vecteur est le cadre juridique de mise en œuvre car les réglementations aériennes sont particulièrement strictes,
et ce d’autant plus que le drone évolue au-dessus de l’espace urbain », déclare le livre blanc de la préfecture.
